Communiqué de l’Association Départementale des Déportés,
Internés et Familles de disparus de l'Oise l'ADIF de l'OISE
Alain Lorriaux et l’association « Mémorial du Wagon de la Déportation » condamnés en dernière Instance.
Jugement de la 1ère Chambre du Tribunal de Grande Instance de Compiègne
rendu définitif en date du 25 février 2014.
Le Conseil d’Administration de l’ADIF de l’Oise constate avec satisfaction que la Justice a maintenu dans son honneur et sa légitimité son Président Départemental, également Délégué interrégional et membre du Bureau National de l’UNADIF, Monsieur Gérard Bocquery.
En effet, celui-ci a été confirmé dans son engagement et son investissement, tant au plan départemental que national, dans la défense de la mémoire des victimes de la barbarie nazie à l’issue de l’audience du Tribunal de Grande Instance qui s’est tenue le 5 septembre 2013, avec pour objet l’examen des propos diffamatoires tenus à son encontre.
Il faut se rappeler qu’en mars 2012, Monsieur Alain Lorriaux et l’association « Mémorial du Wagon de la Déportation » avaient tenu des propos jugés diffamants au préjudice de Monsieur Gérard Bocquery, Secrétaire Général et Trésorier de la dite association, en portant de graves accusations lors de courriers adressés au Préfet de l’Oise, au Sous-préfet de l’arrondissement de Compiègne et à la présidence nationale de l’Union des Associations de Déportés, Internés et Familles de disparus (UNADIF).
Les auteurs du délit présumé étant allés jusqu’à répandre, aussi, leurs insinuations diffamatoires auprès des élus locaux, départementaux, régionaux et nationaux, ainsi que vers les dirigeants du monde associatif patriotique, afin de nuire à l’honorabilité de Monsieur Gérard Bocquery.
Monsieur Alain Lorriaux et l’association « Mémorial du Wagon de la Déportation » ont donc été assignés en justice, et la Première Chambre civile du Tribunal de Grande Instance de Compiègne, dans son audience du 5 septembre 2013, vient de les reconnaître coupables de diffamations et de les condamner solidairement au versement de l’euro symbolique à titre de dommages et intérêts et de les condamner également aux dépens de la procédure.
L’ADIF de l’Oise déplore que le drame, universellement connu de la déportation, ait pu donner lieu à de tels propos et actes diffamatoires désormais reconnus.
Le Conseil d’Administration de l’ADIF de l’Oise.
.