La perte de la mémoire du passé est sans doute la pire infortune qui puisse frapper un peuple ainsi qu'un individu. (Ferdinand LOT)
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C N R D
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CONDAMNATIONS d'Alain Lorriaux & de l'Association
Mémorial du Wagon de la Déportation
TGI - Condamnation en derniere instance du 5 septembre 2013
TGI - Condamnation du 6 mai 2014
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jusqu'au 29 décembre 2013
Exposition au Musée du Général Leclerc de Hauteclocque et de la Libération de Paris - Musée Jean Moulin
Le 70ème anniversaire de la disparition de Jean Moulin est l’occasion de valoriser les collections du musée Jean Moulin qui s’enrichit d’un legs d’une des petites cousines de Jean Moulin.
L’homme moderne, qui aimait la vie, le préfet engagé, le résistant, mais aussi l’amateur d’art et le dessinateur sont au cœur de cette exposition avec des pièces phares telles que lettres, dessins, journaux, toiles de maîtres, interviews de résistants…
Adresse du musée: 23, allée de la 2ème DB Jardin Atlantique 75015 Paris
Autour de l’exposition…
Conférence du samedi par Christine Levisse-Touzé, historienne, directrice.
18 mai à 10h: Jean Moulin passionné d’art
15 juin à 10h: Le général Leclerc, Jean Moulin deux Républicains
Premier Combat « Le Choix » Mis en scène et interprété par Jean-Paul Zennacker
dimanche 16, lundi 17 et mardi 18 juin et vendredi 13 septembre à 17 heures
… l’heure des combats viendra …
message codé lancé sur les ondes de la BBC le 5 juin 1944 pour déclencher
les opérations de sabotage préparatoires au débarquement allié en Normandie.
En retenant cette phrase symbolique comme titre de cette exposition, nous avons souhaité mettre en lumière le rôle important des moyens de communication dans la Résistance et accompagner le thème annuel du Concours national de la Résistance et de la Déportation, « Communiquer pour résister ».
L'exposition présente deux réseaux clandestins qui se sont consacrés pendant la guerre à transmettre des informations militaires aux Alliés : le réseau Alliance, dont 107 membres ont été sauvagement assassinés au Struthof le 1er septembre 1944, et le Plan Sussex, qui a apporté un important soutien aux armées alliées au moment du débarquement.
Une collection exceptionnelle de postes radio émetteurs et récepteurs clandestins ou militaires, tous en état de marche, mais aussi des armes, du matériel de renseignement, d’espionnage et de parachutage complètent la présentation.
Centre Européen du Résistant Déporté
Site de l'ancien camp de Natzweiler
Route départementale 130
67130 NATZWILLER
Tél : 03 88 47 44 67
Il y a 80 ans, le nazisme triomphait. Hitler imposait son pouvoir en Allemagne dans l’indifférence quasi générale des démocraties et entraînait le monde dans un conflit qui prit fin en 1945 après des années de terreur, par la victoire sur le nazisme.
C’est alors que les déportés survivants revinrent des camps de concentration et d’extermination.
Nous avons le devoir, au nom de nos camarades disparus, de rappeler ces évènements qui ont ponctué notre histoire.
Tant que nous pourrons prendre la parole, nous devons dire aux générations nouvelles que c’est surtout dans les moments de crise que resurgissent les discours antidémocratiques, xénophobes, racistes et antisémites, dans lesquels elles doivent discerner les thèses de ceux qui ont exterminé les juifs d’Europe, massacré les Tziganes, déporté et fusillé les Résistants.
Aujourd’hui, il est essentiel qu’elles reconnaissent, dans d’autres discours, les vociférations d’Adolf Hitler et la voix soumise de Philippe Pétain. Ainsi averties, pourront-elles combattre le danger s’il se présente.
Nous lançons aujourd’hui, un appel à la vigilance, au respect de l’être humain, de sa dignité et du droit à la différence. Ce message que nous adressons aux jeunes générations se veut partie prenante de la construction de l’avenir.
À l’occasion des vingt ans de sa création, la Fondation de la Résistance organise une soirée culturelle de soutien avec le concours de plusieurs mécènes et sur invitations payantes à l’Hôtel national des Invalides. Elle est destinée à mettre en valeur le développement des actions entreprises par la Fondation depuis sa création en même temps qu’à affirmer sa capacité à faire face à ses missions s’agissant d’une institution ayant, de par la volonté de ses fondateurs, vocation à la pérennité.
Cette soirée consistera en un concert Berlioz, que donnera l’Orchestre de la Garde Républicaine en l’Eglise Saint-Louis des Invalides, suivi d’une réception.
Pourquoi Berlioz ? Le grand musicien romantique français est l’auteur de la plus célèbre orchestration de La Marseillaise, tout comme la Symphonie Fantastique, autobiographie musicale qui imposa d’emblée Berlioz au premier rang des compositeurs français. Or, la figure de Berlioz est devenue pendant l’Occupation un des emblèmes de la fierté patriotique retrouvée, grâce à sa biographie filmée en 1942 par Christian-Jaque et intitulée justement La Symphonie Fantastique. Produit avec l’argent de la firme allemande Continental, ce film devait servir la politique d’Hitler tendant à faire de Paris la vitrine culturelle de l’Europe occupée. En fait, dès sa sortie, il fut perçu par le public français comme un acte de foi patriotique, tout comme le serait un an plus tard le Pontcarrral de Jean Delannoy. Certes, certains personnages étaient propres à satisfaire la censure allemande : l’épouse de Berlioz, anglaise…et acariâtre, le cupide éditeur de musique dénommé Schlesinger. Mais les spectateurs virent surtout les nombreux éléments propres à exalter la fierté nationale : le fait même que le cercle des Romantiques qui soutenaient Berlioz se dénomme les « Jeunes France », les récits de ses voyages triomphaux à travers toute l’Europe, sa réception à l’Académie française, etc. Même réaction chez un spectateur allemand, et pas des moindres : Joseph Goebbels, qui note à son propos dans son journal : « Je suis furieux de constater que nos propres organismes à Paris enseignent aux Français la manière de produire des films nationalistes ». Cet usage patriotique de Berlioz en des temps bien particuliers ne l’empêcha pas d’incarner aussi une autre Europe, celle unie d’aujourd’hui, en particulier, celle des arts et lettres : admirateur en littérature de Virgile et de Shakespeare, en musique de Gluck et de Beethoven, ses plus fervents soutiens de son vivant furent un italien, Paganini, et un Hongrois, Franz Liszt, fondateur des premières « semaines Berlioz » à Weimar.
Renseignements et réservations des places auprès de :
La Fondation de la Résistance
30, boulevard des Invalides
75007 Paris
En vingt ans, ce lieu de mémoire incontournable a reçu plus d’un million de visiteurs, se positionnant ainsi parmi les plus importants musées d’histoire de la Seconde Guerre mondiale en France. Il est installé symboliquement dans l'ancienne École de santé militaire occupée par la Gestapo entre 1943 et 1944.
Pour célébrer cette date anniversaire, le musée s'est doté d'une nouvelle exposition permanente après un an de travaux. Un contenu concret a été privilégié, basé sur des éléments matériels et immatériels inédits : objets de collection et témoignages. Le parcours muséographique a été conçu au plus près des murs du bâtiment historique, ancien siège de la Gestapo de Lyon.
Alors que l’approche historique de cette période connaît un nouvel élan grâce à la recherche universitaire et que l’agglomération lyonnaise se dote de nouveaux équipements – la maison du docteur Dugoujon, lieu de l’arrestation de Jean Moulin le 21 juin 1943 et la prison de Montluc – mettant en perspective la notion de répression de la Résistance et de persécution de la population juive, il était nécessaire de réorienter le propos vers une approche plus pragmatique de l’histoire de la Résistance, de sa répression et du contexte social et politique de Lyon entre 1940 et 1945.
Valoriser les collections du musée, rendre compte des avancées de la recherche historique, révéler les spécificités de la ville de Lyon pendant la guerre et évoquer l’histoire du bâtiment sont quelques-uns des objectifs poursuivis par la nouvelle exposition.
Une scénographie renouvelée
Une trentaine de points audiovisuels, attachés aux chronologies ou à un objet, livre la voix des témoins pour offrir un contrepoint sensible à la découverte historique des événements, favorisant une rencontre que la disparition progressive des témoins rend désormais précieuse et irremplaçable.
Les collections
Pour la toute première fois, les collections du musée seront valorisées à travers un parcours de 300 m2 principalement centré sur la découverte des particularités de la Résistance dans le contexte urbain de la ville de Lyon.
Le fonds photographique
La nouvelle exposition met également à l’honneur le travail de trois photographes renommés de l'époque : André Gamet, Charles Bobenrieth et Émile Rougé.
Le service pédagogique
Le musée propose une offre renouvelée et élargie aux élèves et enseignants afin de les accompagner dans la découverte et l’appropriation de la nouvelle exposition.
Alors que nous entrons désormais dans le "temps de l’Histoire", le CHRD se dote, à travers cette nouvelle exposition permanente, d’un outil de réflexion et d’échange apte à aider nos contemporains à comprendre le monde complexe qui les entoure.
Centre d'Histoire de la Résistance et de la Déportation
14, avenue Berthelot
69007 Lyon
04 78 72 23 11
Source : Centre d'Histoire de la Résistance et de la Déportation de Lyon.
Découvrez de nombreux documents pédagogiques
qui vous aideront à préparer
le Concours national de la Résistance et de la déportation
année scolaire 2012 - 2013
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Du 29 janvier au 22 février 2013
se tiendra la 8ème édition du festival
"La Résistance au cinéma"
dans 8 salles de Seine-Saint-Denis.
Ce festival est organisé depuis 2005 par l'Association des Amis du Musée de la Résistance nationale de Seine-Saint-Denis.
Placée sous l'égide du Musée de la Résistance nationale à Champigny sur Marne (Val de Marne), cette initiative est parrainée et soutenue par le ministère de l'Éducation nationale, le Conseil général de Seine-Saint-Denis et le Comité Régie d'Entreprise de la RATP.
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